Selon l'organisme, la pollution atmosphérique est à l'origine de "maladies chroniques notamment respiratoires, cardiovasculaires ou métaboliques, à la fois chez l'adulte et chez l'enfant".
Des cas évitables d'asthme, bronchite, AVC....
La réduire pourrait donc avoir des conséquences assez concrètes. En Auvergne-Rhône-Alpes, diminuer les concentrations en particules fines jusqu'aux valeurs recommandées par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) permettrait d'éviter chaque année jusqu'à 3.600 cas d'asthme chez les mineurs, 1.700 cas de bronchite chronique chez les 40 ans et plus et 350 cas de cancer du poumon chez les 35 ans et plus.
À cela s'ajoutent 6.600 cas évitables d'hypertension artérielle chez les adultes, 710 d'infarctus chez les plus de 30 ans, 840 d'AVC et 1.200 de diabète type 2.
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Le dioxyde d'azote à l'origine également de maladies
Dans le viseur de Santé Publique France, également, le dioxyde d'azote : réduire ses concentrations permettrait d'éviter chaque année, dans la région, jusqu'à 1.500 cas d'asthme chez les mineurs et 670 chez les 18-39 ans, ainsi que 350 cas de pneumopathies et autres infections respiratoires aiguës chez les enfants.
Au total, plus de 17.000 cas de maladies, en plus de 4.300 décès, seraient ainsi évitables chaque année en Auvergne-Rhône-Alpes.
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