Refusant de réintégrer sa cellule après une fouille au corps, la prisonnière, connue pour des faits de violences, a assené "un coup de poing au niveau du visage" d'une surveillante, puis l'a agrippée par le cou tout en l'insultant, selon le syndicat.
"100 détenues pour une capacité de 60"
L'agression des agentes s'est poursuivie ensuite dans un quartier disciplinaire où elle a été conduite.
Le syndicat, qui dénonce la surpopulation des lieux ("plus de 100 détenues pour une capacité de 60"), demande un renforcement "des mesures de sécurité" ainsi que des formations "sur la gestion des conflits et la prévention des violences", en plus de solutions pour "réduire le nombre de détenues et alléger la pression sur le personnel".
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