Avec une bombe de peinture noire, il avait recouvert la sépulture et avait dérobé une plaque commémorative, laquelle avait été retrouvée dans son logement. Il a été jugé ce mardi par le tribunal de Villefranche-sur-Saône.
Il avait arrêté son traitement
Fragile psychologiquement, il a reconnu les faits et s'est excusé auprès de la famille, selon Le Progrès. Sous traitement médicamenteux, il avait arrêté de prendre ses cachets, déclenchant l'accès de colère. Il a été condamné à deux mois de prison avec un sursis probatoire d'un an.