L'accord avec la direction actuelle "nous donne raison sur le fait qu'il n'y avait pas de volet social dans le plan initial", a réagi Didier Marion, porte-parole de l'intersyndicale du distributeur, à l'issue d'une audience à la cour d'appel de Paris.
"Plus de raison de faire appel"
"À partir du moment où cela est reconnu" et qu'un volet social, qui avait fait l'objet d'un accord de principe entre les salariés et la direction fin juin, a bien été négocié, "il n'y avait plus de raison de faire appel", a-t-il ajouté.
À noter que le nouveau directeur général du groupe Casino, Philippe Palazzi, doit dévoiler ce jeudi ses grandes orientations pour l'avenir du distributeur, lors d'une conférence de presse à Paris.
Pour rappel, à l'issue des différents plans de sauvegarde de l'emploi (PSE) lancés dans les entités du groupe (Franprix, Monoprix, Easydis,...), près de 3.000 postes devraient être supprimés.