La raison : des menaces d'attentat à la bombe envoyées sur l'espace numérique de travail (ENT), le portail internet permettant de communiquer entre professeurs, parents et élèves, mais aussi sur l'application WhatsApp.
Mardi matin, les élèves du lycée Camus-Sermenaz de Rillieux-la-Pape (Rhône) ont ainsi été privés d'enseignement le temps qu'une équipe de déminage intervienne pour une (fausse) alerte à la bombe.
►Faits divers
[MAJ] Alerte à la bombe dans un lycée de Rillieux-la-Pape : les cours ont repris
Le secteur a été bouclé et des lignes de bus...
Plusieurs académies visées en quelques jours
Selon le ministère de l'Éducation nationale, plus de 20 établissements scolaires des académies de Lille, Grenoble, Versailles, Lyon ou Créteil ont ainsi été victimes de ces alertes.
Une enquête, menée par l'unité de lutte contre la cybercriminalité, est en cours. Enfin, chaque proviseur recevra prochainement un message leur demandant de faire preuve de vigilance et de prévenir la police si la même situation se présente.
