De possibles échanges sur un réseau social
Les trois mineurs ne sont pas directement impliqués dans le projet d'attentat déjoué. Ils sont toutefois soupçonnés d'avoir été en contact avec les quatre hommes arrêtés dimanche en Belgique.
Ils ont notamment interagi dans un groupe d'un réseau social dans lequel avaient lieu des échanges de propagande jihadiste et des projets d'attentat ont été évoqués, indique le PNAT (Parquet national antiterroriste).