D'après l'observatoire Atmo Auvergne-Rhône-Alpes, qui mesure la qualité de l'air, le seuil d'alerte de 500 µg/m3 pendant 3 heures a été dépassé.
Cet incident s'est produit lors du redémarrage d'une unité du site Adisseo à Saint-Clair-du-Rhône, provoquant d'importants rejets de SO 2. Ce gaz incolore peut irriter les yeux, la peau et les voies respiratoires, provoquant parfois de la toux et une gêne respiratoire.