La légitime défense en question
Le gardien de la paix de 24 ans a été placé sous contrôle judiciaire, avec notamment interdiction de quitter le territoire "sauf exception", de paraître à Paris, d'entrer en contact avec le service de police auquel il appartient pendant six mois, de port d'arme et de contact avec les victimes. Il a également une obligation de soins.
Le parquet a précisé que de nombreuses investigations portant sur les faits, en partie de nature criminelle, devaient encore avoir lieu, notamment sur la question de la légitime défense. À ce stade, cette circonstance n'est pas retenue.